Nos métiers d’antan : la Marchande de Plaisir
- Bérénice Tarcher
- il y a 6 jours
- 2 min de lecture
Dans mes recherches, je tombe parfois sur des métiers à la frontière du pittoresque et du poétique… Et celui d’aujourd’hui en est un parfait exemple : la marchande de plaisir, une figure aussi charmante qu’oubliée des rues d’antan !
💡 Son rôle ? Apporter un peu de douceur et de rêve aux passants, aux enfants et parfois aux amoureux… en vendant friandises, petits objets ou jouets, souvent avec un petit spectacle ou une mise en scène !
Les coulisses d’un métier méconnu :
✔️ Présentes surtout dans les villes au XIXe et début XXe siècle, les marchandes de plaisir tenaient un panier ou une carriole décorée, remplie de douceurs ou de babioles.
✔️ Elles vendaient dragées, pralines, réglisses, pommes d’amour, mais aussi parfois des petits jouets, des plumes, des rubans ou des souvenirs.
✔️ Véritables ambassadrices de la joie de vivre, elles s’installaient près des foires, jardins publics, gares, ou sorties d’écoles.
✔️ Certaines chantaient ou avaient une ritournelle pour attirer les clients, à mi-chemin entre marchande et artiste de rue.
✔️ Avec la professionnalisation du commerce, l’ouverture de confiseries modernes et l’évolution du loisir urbain, ce métier a peu à peu disparu.
👀 Un métier de charme et de sourires !
La marchande de plaisir offrait bien plus qu’un bonbon : un moment suspendu, une pause sucrée dans le tumulte du quotidien, une bulle de fantaisie pour petits et grands.
Alors… seriez-vous tenté(e) par une praline chantée ? 🍬🎶
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📧 Contact : berenice.tarcher@gmail.com
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À très bientôt pour d’autres anecdotes historiques ! ✨
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